Un point c'est tout
Douce aube de ma vie, nuance de mon ciel,
Que regardent tes yeux, caresse de velours,
Sinon mon coeur qui bat le rythme de tes jours,
Et s'emballe au seul goût de tes baisers de miel?
Vois-tu ta place en moi, ce trône piédestal,
Devant lequel je fais plier tous mes désirs?
Ta tendresse m'émeut alors qu'elle soupire,
En dépouillant les fleurs de leurs derniers pétales.
Ô romantique amant, je te garde à jamais,
Sur ma peau de satin, sublime tatouage,
Flèche d'un seul amour entre mes seins trop sages,
Où bel abandonné, tu reposes apaisé.
Ô romantique esprit, ravisseur de mon âme,
Poète au coeur d'airain, pleurant sur le papier,
Acclamant le soleil au travers des nuées,
Ou riant sous la pluie qui délave tes drames,
Je ne peux que t'aimer et me perdre toujours,
Sur tes pages d'argent parsemées de trésors,
Offertes en bouquet, comme ces boutons d'or,
Que tu cueillais pour moi en déclamant l'amour.
Je rêve à toi la nuit, je songe à toi le jour,
Et ma plume éplorée souffre de tes absences,
Qui me fond comme un trou au creux de l'existence,
Et je hurle en secret quand tardent tes retours.
Tu es celui pour qui je rend ma liberté,
Le plus précieux joyau de mes jeunes années.
Oui, je m'enfermerai entre tes bras serrés,
Attendant que la mort vienne m'en délivrer.
Accepte ô mon amour, ce rôle de l'époux,
Je te sais ma moitié, cet autre moi perdu,
Retrouvé par la vie, ce jour où je t'ai vu.
Ne baisse pas les yeux, je t'aime un point c'est tout.
Douce aube de ma vie, nuance de mon ciel,
Que regardent tes yeux, caresse de velours,
Sinon mon coeur qui bat le rythme de tes jours,
Et s'emballe au seul goût de tes baisers de miel?
Vois-tu ta place en moi, ce trône piédestal,
Devant lequel je fais plier tous mes désirs?
Ta tendresse m'émeut alors qu'elle soupire,
En dépouillant les fleurs de leurs derniers pétales.
Ô romantique amant, je te garde à jamais,
Sur ma peau de satin, sublime tatouage,
Flèche d'un seul amour entre mes seins trop sages,
Où bel abandonné, tu reposes apaisé.
Ô romantique esprit, ravisseur de mon âme,
Poète au coeur d'airain, pleurant sur le papier,
Acclamant le soleil au travers des nuées,
Ou riant sous la pluie qui délave tes drames,
Je ne peux que t'aimer et me perdre toujours,
Sur tes pages d'argent parsemées de trésors,
Offertes en bouquet, comme ces boutons d'or,
Que tu cueillais pour moi en déclamant l'amour.
Je rêve à toi la nuit, je songe à toi le jour,
Et ma plume éplorée souffre de tes absences,
Qui me fond comme un trou au creux de l'existence,
Et je hurle en secret quand tardent tes retours.
Tu es celui pour qui je rend ma liberté,
Le plus précieux joyau de mes jeunes années.
Oui, je m'enfermerai entre tes bras serrés,
Attendant que la mort vienne m'en délivrer.
Accepte ô mon amour, ce rôle de l'époux,
Je te sais ma moitié, cet autre moi perdu,
Retrouvé par la vie, ce jour où je t'ai vu.
Ne baisse pas les yeux, je t'aime un point c'est tout.